Comme tu le sais si tu suis plus ou moins mon blog et/ou supporte mes babillages intempestifs sur Facebook, cela va faire presque un mois que je suis en arrêt maladie.
Je suis épuisée, je chope cochonnerie sur cochonnerie, et surtout, SURTOUT, j’ai mal partout, et notamment au ventre. J’ai récemment pu sentir le moindre centimètre des quelques six mètres de boyaux emberlificotés dans ma panse. Je peux appuyer sur n’importe quelle partie de mon abdomen, j’ai mal là, là, là, là, là, là, là et encore là.
Les toubibs, généraliste ou spécialistes, ne savent pas ce que j’ai (même si ça n’a pas l’air grave), et je vais devoir passer toute une batterie d’examens plus ou moins invasifs par en haut ou par en bas pour trouver le pourquoi du comment.
J’en discutais encore avec Monlolo, tout à l’heure, gestes à l’appui pour bien lui montrer où ça me blessait, quand, soudain, il a trouvé la solution !!! D’une simplicité, d’une limpidité tellement évidentes… qu’il me l’a énoncé de la formule lapidaire suivante :
« Ouais ben en gros, t’as mal au doigt, quoi… »
PS : merci Coluche !!!
Même si ce n’est rien de grave, c’est saoulant d’être en permanence un peu malade, patraque et pas en forme… Bon courage à ton doigt (lol) et au reste du corps ^^
Hi hi ! Comme disait un gars de l’usine : « Ce qu’on est mal quand on est pas bien ! »
ils finiront bien par trouver, c’est rassurant d’être pris en main par les médecins. Une simple inflammation du colon peut te faire souffrir le martyr ou bien des calculs vésicule biliaire… que des petites conneries qui te gâchent la vie.
Oui voilà, a priori rien de grave, mais c’est pénible… Bon, là (23/03) ça va mieux, je passe des examens jeudi, on sera fixé ! (ou pas ^^) Ravie de voir ici en tous cas 🙂