Comme tu l’as peut-être remarqué, ces jours, je me suis tenue quelque peu éloignée de la blogosphère.
Cette absence insoutenable (si si, tu peux l’avouer ) a deux raisons:
– un blogbreak prévu pour profiter des fêtes et de ma famille, proche et élargie (oui, j’aime ça, Noël…);
– l’attaque sournoise d’une engeance maligne qui m’a bien secouée.
« Mais quelle est donc cette vilaine Chose qui a abattu notre Crapaude ??? » t’entends-je t’interloquer d’ici. « Pourtant, la Crapaude est costaude ! »
Oui, mais là, non.
Le Mal avait vingt culs.
Vaincu.
Oui, c’est mieux.
Je suis donc entrée en lutte.
Je l’ai traqué.
J’ai chassé cette saloperie.
Un véritable safari en Portenawak Republic.
« Mais de quoi donc elle cause, l’autre ??? » te soupçonné-je de te demander.
Euh, oui, à ma décharge, j’ai encore l’esprit quelque peu ralenti suite à tout ça.
Que je t’explique.
J’ai été attaqué par une espèce endémique de Portenawak Republic (et non pas par une armée de chatons pailletés) (quoique).
Une espèce sournoise, dont la mise à mort demande un équipement bien particulier.
Faisons les présentations.
Voilà la Bête.
Oups, je m’ai trompée de photo…
Ca c’est la dame aux chatons clignotants (private running joke…)
Voilà la VRAIE:
La rhino féroce…
Grrr…
Comme ça, elle a pas l’air méchante, cette bêbête, mais quand elle t’attaque :
rhâ-gnagna !!!
Tu t’épanches en fluides verdâtres et visqueux, tu ronfles comme un bouledogue français asthmatique, t’as des yeux de lapins myxomatoseux… et pis bobo, quoi…
J’ai donc revêtu l’équipement traditionnel portenawakais des chasseurs de rhino féroce. Très seyant, ma foi…
Et ça y’est, j’en suis venue à bout !!!
Me revoilà donc, presque fraîche comme un gardon, prête à t’inonder de mes conneries habituelles !!!
Bonne année !!!