Sex, Rogue & rock’n’roll chap.21 [fan fiction Harry Potter]

Fan de moua (ha ha),

Comme tu as pu le remarquer, hier, à cause de tourneboulage de ciboulot électoral, j’ai oublié de publier ce chapitre.

Bah voilà qui est fait !

Bonne lecture !!!

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XXI – Le Polynectar Trans

Lyla et Severus quittèrent alors la Grande Salle main dans la main, sous les regards curieux des élèves. Ils se dirigèrent rapidement vers les cachots à travers les couloirs déserts, mais au lieu de s’arrêter prendre une potion de Bastacéphalée au bureau, ils filèrent chez Miss Harrison.

– Allez, c’est parti ! dit Rogue. Tu as le Polynectar Trans ?
– Tiens, acquiesça-t-elle en lui tendant un flacon qui était dans sa coiffeuse. Et, aïe ! Voilà un cheveu.
– Parfait, murmura-t-il de sa voix veloutée. Nous avons vingt minutes devant nous.

Il mesura une quantité exacte de potion, mit le cheveu de Lyla à l’intérieur, attendit quelques secondes, et l’avala. Un instant plus tard, il avait pris l’exacte apparence de Miss Harrison.

– Ça fait bizarre, dit-elle en le regardant. Je suis canon, en fait ! Ça te fait quel effet d’être moi ?
– J’adore, répondit-il pensivement en promenant ses mains sur ces courbes qu’il avait déjà souvent parcourues.
– Mince ! Tu as toujours ta voix !
– Oui, j’avais remarqué, se moqua-t-il gentiment alors que Lyla lui faisait une grimace. Peracutus, dit-il en pointant sa baguette sur sa gorge. Et là, ça va ? demanda-t-il avec une voix beaucoup plus aiguë.
– Parfait ! Allez, ma jumelle, va te changer !

Severus fila à la salle de bain tandis que Miss Harrison préparait la pièce. Elle tamisa la lumière, alluma des bougies à l’ylang-ylang, et disposa des fraises, du gingembre confit et du champagne sur la table basse. Rogue réapparut quelques instants plus tard, vêtu d’une courte robe en latex noir, avec bas résilles et cuissardes, sous une cape de satin rouge.

– Oh la la, ce que je fais pouff’ comme ça, s’exclama Lyla en le regardant.
– Dans ce cas, ça devrait plaire aux deux crétins…

TOC TOC TOC

– Quand on parle du loup… Tu es prêt ? demanda Lyla.
– Et comment ! confirma-t-il.

Elle alla alors ouvrir la porte.

– Ah, vous voilà enfin, on a failli attendre, dit-elle d’une voix suave et avec un regard de braise.

Lapierre et Fitzgerald entrèrent de leur démarche arrogante, dévisageant Severus et Lyla.

– Je vous présente ma sœur Séverine, dit-elle en désignant Rogue lascivement installé sur le canapé.
– Bonsoir, ravie de vous rencontrer, dit-il d’une voix langoureuse, en se levant pour aller à leur rencontre. Lyla m’a beaucoup parlé de vous…
– Un peu de champagne ? proposa Miss Harrison en se dirigeant vers la table basse.
– Volontiers, répondirent-ils sans quitter les deux clones des yeux.
– Alors, qui est qui ? demanda Rogue.
– Je suis Artemus…, dit Lapierre.
– … et moi Flavius, ajouta Fitzgerald en acceptant la flûte que Lyla lui tendait, tout comme son comparse. Vous êtes sorcière également ?
– Evidemment, dit Rogue, un brin méprisant. Et j’ai hâte de voir vos… baguettes magiques… dit-elle d’un ton plein de sous-entendus.

Lyla gloussa en se trémoussant pour confirmer ces propos.

– C’est quand vous voulez, mesdemoiselles, dit Lapierre en s’approchant de Lyla pour l’enlacer, tandis que Fitzgerald faisait la même démarche envers Rogue.
– Oui, mais avant, il va falloir nous décoincer un peu, messieurs, avertit Lyla en se pressant contre Lapierre. Ma sœur et moi sommes fans des Chippendales, si vous voyez ce que je veux dire…
– Euh, non, pas vraiment… bredouilla-t-il.
– Enfin, dit Rogue, les strip-teaseurs masculins… Faites ça pour nous, et on vous le rendra au centuple, dit-il en minaudant.
– Si ça peut vous faire plaisir… leur accorda Fitzgerald avec un sourire vicieux.
– Oh oui, vous ne savez pas à quel point, murmura Lyla, sa bouche collée contre l’oreille de Lapierre.

Elle se dirigea vers sa chaîne hi-fi dans laquelle elle mit un CD. Elle alla s’asseoir sur le canapé, à côté de Rogue, fit un petit geste de sa baguette, et les premières notes de «I want your sex» de George Michaël retentirent.

– Allez, messieurs, envoûtez-nous ! dit Rogue.

Lapierre et Fitzgerald commencèrent alors à danser et à se dénuder au son de la musique, faisant jouer leur musculature, lançant des œillades salaces et venant se frotter régulièrement à Lyla et Rogue, qui poussaient des gloussements de plaisirs et des cris d’encouragement, applaudissaient et chuchotaient, feignant l’extase proche.

– Le slip, le slip ! scandèrent-elles à la fin de la chanson.

Lapierre et Fitzgerald s’exécutèrent, exhibant alors leur virilité.

– Tu commences par lequel ? demanda ostensiblement Lyla à Severus.
– Je ne sais pas… pourquoi pas les deux en même temps ?
– D’accord, moi, ça me va.

Elles s’approchèrent des deux professeurs et firent courir leurs doigts sur leur peau bronzée.

– Nous allons faire de vous nos choses, dit Rogue à voix basse en caressant le torse de Lapierre.
– Ça t’excite, hein, Flavius ? enchaîna Lyla. Allez vous asseoir, ordonna-t-elle.

Elle commença à se dévêtir très lentement, en commençant par ses bas. Pendant ce temps, Rogue défaisait les sangles de sa robe de latex. Lapierre et Fitzgerald étaient manifestement très satisfaits de la scène qui se jouait sous leurs yeux. Mais soudain, ils froncèrent les sourcils en regardant celle qu’ils croyaient être Séverine. Ses bras étaient plus gros et plus poilus, ses sourcils avaient épaissi, son nez changeait de forme. Séverine s’enveloppa alors dans sa cape en satin rouge en baissant la tête, et quand elle la releva :

– Ça va, les minables ? demanda Rogue, toujours avec sa voix de fausset, tandis que Lyla pouffait de rire devant leur mine déconfite.
– C’était particulièrement amusant… et instructif… dit-elle calmement aux deux hommes tétanisés. Vous ne trouvez pas ?
– Espèce de sale garce ! cracha Fitzgerald.
– Te te te, depuis quand parle-t-on aux dames ainsi, Flavius ? railla Rogue ayant retrouvé sa voix normale. Où sont passées tes belles manières avec lesquelles tu pervertis les étudiantes de septième année ?
– Comment tu… bafouilla-t-il.
– Vous avez les cent Gallions ? demanda tranquillement Lyla en enlaçant son compagnon.
– Quoi ? bredouilla Lapierre.
– Les cents Gallions pour le premier qui me mettrait dans son lit… Ils reviennent à Severus, ne vous en déplaise.

Les deux hommes, toujours nus comme des vers, lancèrent un regard dégoûté à Rogue qui affichait pour sa part un rictus de triomphe.

– Laisse, on n’a pas besoin de leur sale argent. Mais ils vont me promettre de laisser les étudiantes tranquilles. Sinon, ce qui s’est passé ici ce soir risque fort d’être divulgué par mégarde…
– Vous voulez peut-être voir les photos ? demanda innocemment Lyla en se dirigeant vers sa coiffeuse où elle prit un appareil Polaroïd moldu qu’elle avait enchanté.
– Sale Mangemort ! cracha Lapierre en regardant Rogue.
– Tu n’as rien trouvé de mieux ? demanda-t-il calmement. Tu me déçois… Alors, elles sont réussies, ces photos ?
– Très nettes, très vivantes, vous voulez y jeter un coup d’œil ? proposa aimablement Lyla.

Ils tournèrent la tête, dédaigneux, tandis qu’elle et Severus rigolaient comme des fous en regardant les clichés magiques.

– Allez, rhabillez-vous et fichez le camp d’ici, ordonna froidement Miss Harrison. Et que je ne vous entende plus dire du mal de Severus, sinon…

Elle laissa sa phrase en suspend, se contentant d’agiter les photographies dans sa main droite. Les deux professeurs se vêtirent rapidement et filèrent sans demander leur reste.

– Je crois qu’on est tranquille pour un bon moment, dit Lyla en se collant contre Severus. Enlève ta cape, pour voir…
– Non, arrête…
– Allez… Fais voir comme tu es beau en latex et bas résille…

Il s’exécuta en rigolant et en levant les yeux au ciel.

– Bon, je vais me changer, ça me gratte, tout ça.

Il se dirigeait vers la salle de bain quand Miss Harrison l’arrêta.

– Dis, il te reste du Polynectar Trans ? demanda-t-elle d’un ton faussement dégagé.
– Oui, pourquoi ? répondit-il l’air intéressé.
– Ça te dirait qu’on en prenne tous les deux, ensemble, et qu’on essaie… des trucs ? proposa Lyla à voix basse.
– Tu es vraiment une femme épatante, dit-il en l’enlaçant vigoureusement avant de l’embrasser. Mais tu ne crois pas qu’on devrait retourner au bal ?
– Mince, j’avais complètement oublié.
– Mais promis, ajouta-t-il de sa voix profonde et sensuelle, après minuit, je serais… ta chose

________________________

Alors, le Polynectar Trans en couple, ça te tente ?

Hin hin hin…

Bon, sinon, je sais que tu vas hurler des cris à la mort et tenter de t’immoler par le feu (comment ça, je redonde ?), mais ce chapitre est l’avant-dernier…

Dimanche, c’est the End, my friend…

6 réflexions au sujet de « Sex, Rogue & rock’n’roll chap.21 [fan fiction Harry Potter] »

  1. Ha ben d’accord ! Je m’attends donc à un super ending !!

    Le Polynectar en couple… Pourquoi pas ouais!! héhé

    Merci pour la suite! Même si elle a un peu de retard! 😉

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